1. La République Démocratique du Congo possède un grand marché intérieur et est stratégiquement située au centre du continent africain, étant également membre du marché commun de l'Afrique orientale et australe (COMESA). Donc, une bonne position géostratégique au cœur de l'Afrique.  2. Hub et corridor d'accès, au cœur de l'Afrique Centrale ;  Abondance des ressources naturelles. Les réserves de pétrole atteignent 1,7 milliard de barils et la production est assurée pour les 25 années à venir.  À cote de ces réserves impressionnantes, la RDC compte 130 milliards de tonnes de réserves de potasse, des réserves en fer, étain, uranium, phosphate, calcaire, zinc, plomb, cuivre, manganèse, or, argent, diamant, grès bitumeux et géométraux Le potentiel hydroélectrique est estimé à 14 000 MW.  La RDC dispose de près de 80 millions d'hectares de terres arables, 4 millions de terres irrigables, et dont 1% seulement cultive.  Accès à un marché de plus de 80 millions des consommateurs.  Cadre légal et réglementaire no

Le produit, appelé Click, serait « les premiers écouteurs véritablement sans fil au monde » avec traduction vocale en direct prenant en charge 40 langues. Contrairement à des inventions comparables, le « clic » ne nécessite pas de connexion Internet. Au lieu de cela, les écouteurs sans fil fonctionnent en s'associant à un smartphone. Les écouteurs détecteront alors la langue parlée et fourniront une traduction orale en une phrase ou deux. Manu dit à Keepthefaith que le voyage a été long et stressant et que son succès est dû à son travail acharné et à sa détermination. Danny Manu, comme de nombreuses startups noires au Royaume-Uni, a relevé le défi de lever des capitaux ou de créer une entreprise pour son entreprise. "Comme toutes les autres entreprises gérées par des minorités ethniques au Royaume-Uni, j'ai eu du mal à obtenir le financement et le soutien financier des banques et des programmes financés par le gouvernement dont j'avais besoin", a-t-il déclaré. À la suite de ce qui précède, Manu a été contraint de rechercher un financement alternatif pour son démarrage. Il a utilisé son propre argent, ses économies personnelles et les fonds collectés via des sites de financement participatif. Selon Keepthefaith , il a collecté plus de 5 000 000 $ sur des sites de financement participatif comme Kickstarter et Indiegogo. Depuis sa création sous la marque Mymanu, l'appareil a gagné en popularité en Europe, aux États-Unis et en Asie. Manu exhorte enfin les autres technopreneurs en herbe à « se concentrer sur leurs réussites et à croire en soi ». Il a poursuivi : « si vous vous entourez de vos réalisations et que vous n'arrêtez pas de croire en vos rêves, vous aurez une réelle chance. »

La première édition de notre magazine est sortie, ainsi nous avons eu un échange fructueux avec S.E. Alexis THAMBWE MWAMBA ancien président du Sénat de la RDC, enjoué, nous a fait des compliments élogieux vis-à-vis du travail rendu. La deuxième édition sortira en décembre prochain. Afro-Synthese votre magazine de valeurs.

Ados Ndombasi : "En RDC, nous devons construire une identité culturelle" Député national élu de la circonscription de la Funa, Ados Ndombasi s'avère un personnage respecté qui travaille aux côtés de la population. Souvent identifié par sa combinaison orange qu'il porte même à l'hémicycle, il demeure un véritable défenseur de la culture du pays. Face à moult difficultés qui rongent le secteur, Ados Ndombasi a toujours milité pour le choix de bons animateurs qui reste salutaire pour le développement de la culture au pays. En outre, le député membre de l'Ecidé plaide pour la construction d'une identité culturelle pour un Congo fort. AS: Goma a été secouée samedi par l'éruption violente de Nyiragongo, comment réagissez-vous à ce drame ? AN: Je suis très triste entant que congolais. On le dit souvent quand le doigt est blessé, c'est tout le corps qui est malade. Donc Goma est touchée, c'est toute la RDC qui est touchée. Dans nos cœurs, nous compatissons avec nos frères disparus, avec toutes ces personnes contraintes de dormir à la belle étoile suite à cette éruption volcanique et tout ce séisme qui continue à se dérouler en ce moment. Je suis de cœur avec eux entant que député national, entant que congolais, une pensée forte. Goma nous t'aimons, Goma dans nos cœurs. AS/ Quel impact cela peut avoir sur le plan culturel ? AN: Déjà, la culture englobe tout. En ce moment, nous sommes tous choqués. Le plus important est d'utiliser la culture comme un élément rassembleur. J'aime beaucoup ce jeune slameur Yekima De Bel'art qui vient de m'envoyer un slam, il souhaiterait que beaucoup d'acteurs politiques puissent participer au clip. Je vais essayer de participer et la culture doit nous rassembler, nous réunir, nous consoler parce qu'elle a pour objectif de consolider justement l'humanité, les cœurs. Sur le plan culturel, vous savez que notre pays a un impact négatif parce que nous n'investissons pas dans le secteur, mais la culture est un secteur rassembleur qui peut guérir les plaies. AS: Le Chef de l'État a décidé d'instaurer l'État d'urgence pour lutter contre l'insécurité dans les provinces du Nord-Kivu et de l'Ituri. Il était temps ? AN: Je pense qu'il est toujours temps à instituer la paix dans une République surtout dans la partie est du pays où il y a eu plusieurs milliers de morts. Je pense que quand une personne essaie de faire une action qui se dit positive pour apporter la paix dans le pays, pourquoi pas. Nous espérons sincèrement que la constitution congolaise sera respectée surtout sur la partie des droits de l'homme. La personne humaine est sacrée, nous espérons qu'il n'y aura pas de personnes qui seront tuées parce qu'on a des comptes à rendre. Mais, si ça peut apporter la paix, pourquoi pas. AS: Vous êtes également opérateur culturel, pourtant la culture congolaise fait encore grise mine par manque de subvention. Quelles stratégies pour son développement ? AN: Il faut trouver de bons animateurs. Souvent, le secteur culturel est animé par des personnes que j'appelle stagiaires malheureusement. Nous espérons que la ministre qui vient d'intégrer ce gouvernement sera différente de tous les autres qu'on a eu au paravent. J'ai bien aimé le ministre sortant qui a essayé de faire bouger les choses, mais là nous espérons que la ministre actuelle va nous aider à nous en sortir. Il faut de la grandeur, nous avons peuplé le Congo, mais est-ce que nous assurons sa grandeur ? La culture, c’est l'Alpha et l'Oméga de toutes grandes économies. Le pain que nous achetons le matin, c’est de la culture, notre habillement, notre façon de manger aussi. Vous ne pouvez pas mettre la culture de côté et surtout y mettre un petit budget de 12 millions USD. Les Sud-coréens ont construit pour le Congo un musée qui a coûté à peu près 20 millions USD, mais la RDC elle donne 12 millions USD au ministère de la Culture qui ne seront peut-être pas respectés. Un moment, il faut vraiment de la grandeur. Dans les années 1870 à peu près, les États-Unis deviennent la plus grande force mondiale grâce aux sciences et à la culture. La culture aujourd'hui joue un rôle d'ambassadeur, surtout dans un pays où il y a eu tant de violences. Il est grand temps de redorer la République démocratique du Congo grâce à son premier ambassadeur qui est le secteur culturel. Nous avons à peu près 80 millions d'habitants, c'est un marché culturel qui pourrait énormément rapporter à la RDC. Quand vous voyez des pays comme la France qui investit plus de 2 milliards USD chaque année dans le secteur culturel qui rapporte en retour plus de 60 milliards USD, c'est énorme. C'est 15 fois le budget de la RDC pour un seul secteur. Il est important d'investir dans la culture parce que la culture bonifie la vie de l'homme, la culture a ce rôle d'accompagner l'éducation, d'adoucir les mœurs. Aujourd'hui dans notre pays, notre jeunesse a besoin d'un divertissement sain. Aujourd'hui, nous n'avons que des bars. Il nous faut des salles d'Opéra, des salles de théâtre, des salles de cinéma qui nous permettront de nous cultiver et nous mettre en relation avec le monde. AS: Le Fonds de promotion culturelle remplit-il valablement sa tâche ? AN: Tout commence par les animateurs, tout doit commencer même au niveau du président de la République. Les grandes nations aujourd'hui ont compris qu'il était important d'investir dans la culture. Je pense que nous devons construire notre identité culturelle. Quand on la construira, vous allez voir que tous les secteurs s'identifieront à notre culture, même nos ministères, par leurs bâtisses, vous comprendrez qu'on est réellement un seul peuple. Aujourd'hui, quand vous regardez la construction de nos ministères, il n'y a pas de lien. Je pense qu'en RDC nous devons construire une identité culturelle. Nous avons été colonisés par les Belges et après nous sommes restés sur les pas des Belges. Il faut y sortir pour construire un Congo qui nous appartient. AS: Que reste-t-il du collectif Watoo Balabala? AN: Watoo Balabala pour le moment je n'ai pas assez d'activités vu mes nouvelles fonctions politiques. Watoo Balabala va bientôt relancer, je l'espère dans quelques années ou quelques mois. Le Festival Toseka, suite à la pandémie de Covid-19 c'est compliqué pour réunir les financements. Pour organiser TOSEKA il nous faut à peu près 800 000 à 1 million USD. Avec la Covid-19, les entreprises ne sont pas prêtes à mettre autant d'argent parce que la culture est souvent négligée. Il y a également un secteur qui pourrait aider la RDC à s'en sortir, c'est le secteur du tourisme. Dans un pays de plus de 80 millions d'habitants, le tourisme pourrait rapporter énormément. Mais, il faudrait qu'on devienne comme les Français, les Américains. Aux États-Unis, les premiers touristes sont les Américains, en Chine les premiers touristes sont les Chinois, en France les premiers touristes sont les Français. On devrait normalement être les premiers touristes de notre pays, mais il nous est difficile d'aller à Lubumbashi parce que ça coûte trop cher, il nous est difficile d'aller à Goma, à Bukavu, même pour aller au Kongo Central, au Kwilu, au Kwango c'est compliqué à cause de l'état des routes. Il faudra aujourd'hui investir dans les kilomètres des routes pour réunir et réconforter l'unité nationale même l'identité nationale. Les infrastructures routières vont faciliter le tourisme, on pourra se déplacer. Une personne qui se déplace, elle dépense, c'est de l'argent qui entre dans les caisses de l'État. L'infrastructure routière apportera également la sécurité dans le pays. Quand il y a des dégâts, par exemple, au niveau de Beni, les gens vont quitter Kinshasa pour aller secourir nos frères là-bas. Les infrastructures routières vont nous aider sur le plan économique. Les routes sont fondamentales pour l'éclosion d'un pays. Il nous faut énormément de grandeur pour bâtir le Congo. AS: Vous êtes coordonnateur du Festival International Toseka, à quand la prochaine édition ? AN: On verra, tout dépendra de la Covid-19. J'espère qu'elle va nous laisser tranquilles. AS: Quel est selon vous le lien entre la politique et la culture ? AN: La culture englobe tout, c'est l'Alpha et l'Oméga de toutes économies. La politique fait aussi partie de la culture. Nous devons aujourd'hui trouver une autre manière de faire notre politique. Le lien est très fort parce que la culture englobe même la politique. AS: Ados Ndombasi a-t-il d'autres ambitions professionnelles ? AN: Je révérai devenir gouverneur de la ville de Kinshasa pour améliorer les conditions des vies des Kinoises et Kinois sur le plan des infrastructures. Donner une identité à la ville de Kinshasa est mon combat, construire des hôpitaux, réhabiliter les centres de santé, accorder aux Kinois des ambulances, des camions anti-incendie dans chaque commune, créer des marchés agricoles, etc. Quand je vois cette ville, je suis triste. AS: Votre dernier mot. Que Dieu bénisse la RDC, que Dieu bénisse Kinshasa. Une pensée pieuse à nos frères de l'Est. Par Christenvie Tambi

Denis Mukwege, un héros qui incarne l'humanité Il est l'image picaresque des valeurs évolutives de l'humanité. Prix Nobel de la Paix, le Dr Denis Mukwege se démarque par son implication effrénée à lutter contre les violences sexuelles faites aux femmes. À 66 ans, le gynécologue congolais demeure un personnage épris de paix. Son parcours héroïque et courageux lui donne une aura mondiale. En sa qualité de défenseur des droits de l'homme, le Dr Mukwege conscientise face aux violations de liberté. Un engagement pour "l'homme qui répare les femmes" qui sonne le glas de la peur. Une personnalité qui inspire et force une admiration continue aussi bien dans le chef des peuples que des acteurs politiques du monde entier. Les prouesses monumentales Le Dr Denis Mukwege met sur un piédestal. Son parcours élogieux rempli des prouesses le prouve. Le gynécologue congolais a reçu plusieurs distinctions grâce notamment à son engagement contre les mutilations génitales pratiquées sur les femmes. Docteur honoris causa dans plusieurs Universités de renom telles que l'Université Catholique de Louvain, de Pennsylvanie ou encore de Liège, le Dr Denis Mukwege a reçu le prix Nobel de la paix en 2018 avec la militante iranienne Nadia Murad. Outre ce prix de prestige, le gynécologue congolais s'est vu récompensé plusieurs fois. Il reçoit le prix Shakharov en 2014. D'autres récompenses honorifiques comme le prix des droits de l'homme des Nations-Unies (2008), le prix Olof-Palm (2008) ou encore le chevalier de la Légion d’honneur complètent sa besace abondante et la liste n'est pas exhaustive. Pasteur chrétien évangélique pentecôtiste, Denis Mukwege brille non seulement par sa générosité, mais aussi son amour envers le citoyen lambda. "L'homme qui répare les femmes" En raison de son implication à venir en aide aux femmes et filles de Panzi au Sud-Kivu victimes des violences sexuelles, le Dr Denis Mukwege a reçu le surnom de "l'homme qui répare les femmes". Un combat qu'il mène avec ardeur et courage. Dans un hôpital qui propose une offre centralisée d'assurance médicale, psychologique, socio-économique et juridique, plus de 50 000 victimes ont pu y recevoir des soins. En outre, la Fondation Panzi contribue activement au fonctionnement de l'hôpital. Une implication symbolique de Denis Mukwege qui continue à laisser des traces indélébiles. Un grand homme qui force l'admiration. Par Christenvie Tambi

The CEO and founder of Afro-Synthese was born in Lubumbashi, DRC, in a family of multiple children. After studies in plastic arts, Darrell got involved in the faculty of letters. A few years later to maximize his satisfaction, he developed an artistic side, setting up his first company, FlashMeStudio, an audio-visual production, and photography professional company. Darrell had been planning for FlashMeStudio ever since a young age, that's one of the factors that make him and his company special to Africa. Since arriving in Germany in 2013, the CEO remained objective to see his dreams come to pass. The CEO is also an amazing father of four and a companion to Alma-Sita Kinkani. The ambitious 31-year-old wants to be a role model for all African Youth. Darrell wants to give a beautiful image of the beautiful continent and work for the betterment of Africa. Afro-Synthese is a company that is based in The Federal Republic of Germany. The company's doors were opened in November 2020 by their dynamic co-founder and CEO, Darrell-Fedele Amisi. The Congolese-born international has been residing in Germany for the past 8 years. Afro-Synthese aims to promote the successful and inspiring stories of not only Africans living in Europe but Africans worldwide. This diverse company is for Africans, companies, and the people of Africa. Afro-Synthese is motivated to improve the image of the African community in the diaspora and to highlight its knowledge, wealth, advantages, and talents. Darrell's amazing company is open to any form of collaboration for the advancement of his great vision for Africa.

Le gouvernement congolais envisage financer 20 projets économiques à travers le premier Salon sur L'Industrie et l'Innovation Technologique. Au mois de mai la ville de Kinshasa servira de cadre au premier Salon International sur L'industrie et l'innovation technologique . D'après Julien Paluku, ministre de l'industrie, plus de 5.000 personnes sont attendues sur une période de 3 jours autour du secteur industriel et plusieurs autres thématiques. Ce Salon vise également à identifier et financer 20 projets prioritaires pour chaque zone économique spécialement avec l’appui de partenaires. Le ministre de l’Industrie a fait cette annonce au cours d’une conférence de presse tenue ce mercredi 24 février, à Kinshasa. Dans son exposé, il a déclaré que but majeur de ces assises, est de redorer l’image du pays à travers les nombreuses opportunités industrielles. Reconnaissant que le gouvernement est actuellement démissionnaire, mais au nom de la continuité de l’Etat, Julien Paluku a tenu à donner les grandes lignes de ce premier Salon qui se tiendra avec le concours de son successeur. Marc Tshata

Économiste chevronnée, Ngozi Okonjo-Iweala, 66 ans, nommée, directrice générale de l'Organisation Mondiale du Commerce, est une des femmes les plus puissantes du Nigeria. En plus d'être la première femme à la tête de l'institution, elle en sera aussi la première dirigeante originaire d'Afrique, en entendant son investiture le 1 mois prochain.

Il dit constater que la courbe de contamination du coronavirus en RDC est en train de de diminuer. L'annonce de Willy BAKONGA vient ainsi couper court aux rumeurs et spéculations autour de ladite reprise des cours en République Démocratique du Congo. " La reprise des cours est imminente puisque la courbe de contamination de la Covid-19 chute. Ainsi, nous avons effectué une visite dans certaines écoles pour nous assurer des conditions d’accueil des élèves et préparer la reprise qui pourrait être annoncée bientôt par le Chef de l’Etat ", a-t-il annoncé via son compte Twitter. Rappelons que C'est depuis le 18 décembre 2020 que les cours ont été suspendus sur l’ensemble du territoire national dans le but de lutter contre la deuxième vague du coronavirus. Marc TSHATA